Evanovich, Janet « Comme onze comprend » (2005) Série Stephanie Plum 352 pages

Evanovich, Janet « Comme onze comprend » (2005) Série Stephanie Plum 352 pages

Autrice: Américaine, Janet Evanovich est originaire de South River dans le New Jersey. Au terme de quatre années d’études en arts plastiques, elle a renoncé à la peinture et commencé à écrire, tout en travaillant comme secrétaire intérimaire. En 1996, elle a publié, en France, son premier roman, La Prime, qui est immédiatement salué par la critique et plébiscité par le public. Suivront une vingtaine d’autres titres mettant en scène avec le même humour décapant la célèbre chasseuse de primes, Stéphanie Plum. 

Série Stephanie Plum : Une vendeuse de lingerie fine a dû s’improviser chasseur de primes pour pouvoir remplir son réfrigérateur.

La PrimeDeux fois n’est pas coutume – À la une, à la deux, à la mort – Quatre ou double – Cinq à sexe – Six-Appeal – Septième ciel – Le Grand Huit – Flambant neufDix de retrouvés Comme onze comprend – Les douze travaux de Stephanie – Une affaire treize explosive – Chercher midi à quatorze heures – Retour à la quinze départ – Saisi sur le vif – 17 ans de malheur – Y a pas dix-huit solutions – 

Série : Stéphanie Plum : 11ème enquête
(lu les 9 premiers avant la création du blog – voir page sur la série )

Pocket – 2015 (1re éd. 2005), 352 pages – « Eleven on top » (trad. de l’anglais par Axelle Demoulin & Nicolas Ancion),

Résumé:
Trop c’est trop. Stéphanie Plum en a par-dessus la tête de se faire tirer dessus et de voir sa voiture exploser. Elle rend son badge de chasseuse de primes et décide de trouver un emploi normal, dont sa mère pourra parler à ses amies sans devoir faire le signe de croix. Mais son passé ne cesse de la hanter. Harcelée par un déséquilibré passionné d’explosifs, elle doit le démasquer avant qu’il ne la réduise en miettes.
Et, pour ne rien arranger, la tension monte entre les deux hommes de sa vie, Joe Morelli, le flic le plus craquant de Trenton, et Ranger, le bad boy le plus sexy de la planète…

Mon avis :

Miss Catastrophe : le retour ! Ah elle est tout simplement pas possible ! Elle n’en fait pas une de droite! Et retombe sur ses pattes, échappe au pire ! Elle a toujours sa famille déjantée, sa Mamie hallucinante, sa soeur .. et ses deux Hommes …Morelli et Ranger.
Elle en a peut-être marre de son boulot et décide d’en trouver un autre, mais ce n’est pas une simple affaire ! Les boulots ne veulent pas d’elle, elle est dans le viseur d’un mec qui veut la supprimer, et elle continue à aider son ex-collègue chasseuse de primes et ça se passe pas bien ! Toujours la pêche et moi je trouve cela rigolo!
Et je ne m’ennuie pas une seule seconde même si c’est du léger, léger. Et j’ai préféré ce tome au précédent.

Extraits:

J’entendais les enfants dans le salon, ils toussaient devant la télé et se disputaient en geignant. Les petits de Mary Lou étaient mignons quand ils dormaient et pendant le quart d’heure qui suivait leur bain. Le reste du temps, ils étaient une pub vivante pour la contraception. Ils n’étaient pas méchants. Bon, d’accord, ils démembraient toutes les poupées qui franchissaient le seuil, mais ils n’avaient pas fait griller le chien au barbecue. Pas encore, du moins. C’était bon signe, non ?

Il n’avait pas levé les yeux vers sa future épouse et ne se rendait pas compte de ce qu’il avait dit. Les mots avaient quitté ses lèvres et formé des phrases.

Certaines personnes oublient leurs problèmes en dévalisant une pharmacie, d’autres se mettent à picoler ; le remède préféré de ma mère, c’est le repassage. Elle aplanit ses frustrations à grand renfort de vapeur.

Je mentais comme une pro ! C’était le seul talent qui me servait vraiment comme chasseuse de primes.

Au dîner chez mes parents, seuls les plus rapides survivent. Nous nous sommes assis, nous avons posé nos serviettes sur nos genoux. Et les politesses se sont arrêtées là pour laisser place à l’action. Les plats changent de mains, la nourriture est déposée dans les assiettes et engloutie à la vitesse de la lumière. Personne n’a encore été poignardé à coups de fourchette pour le dernier morceau de pain, mais c’est seulement parce que tout le monde comprend les règles. Premier arrivé, premier servi.

Parfois, ma capacité à inventer des conneries m’impressionne moi-même. Une fois que je suis lancée, ça sort tout seul. Je suis capable d’inventer tout un univers parallèle en quelques secondes.

Les scènes de catastrophes ont quelque chose d’hypnotique et le temps semble s’écouler à un autre rythme, dans un brouillard de bruits et de couleurs.

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