Beaton M.C. « Série Agatha Raisin enquête » (8 – 14)
Auteur: Née en 1936 à Glasgow, Marion Chesney alias M.C. Beaton a été libraire et journaliste avant de devenir un des auteurs de best-sellers les plus lus de Grande-Bretagne avec ses deux séries de romans policiers : Hamish MacBeth et surtout Agatha Raisin (plus de 15 millions d’exemplaires vendus dans le monde). Ses romans de type romances sont quant à eux publiés sous les pseudonymes d’Ann Fairfax, Jennie Tremaine, Helen Crampton, Charlotte Ward et Sarah Chester.
Agatha Raisin, c’est une Miss Marple d’aujourd’hui. Une quinqua qui n’a pas froid aux yeux, fume comme un pompier et boit sec. Sans scrupule, pugnace, à la fois exaspérante et attendrissante, elle vous fera mourir de rire !
« L’Agatha Raisin de M.C. Beaton est un véritable trésor national. » The Times
« Série Agatha Raisin enquête » tomes 1- 7 (résumé, mon avis et extraits de la série dans cet article)
– Tome 1 : La quiche fatale – La vengeance est un plat qui se mange chaud (2016)
– Tome 2 : Remède de cheval – Quand le chat n’est pas là, le véto trinque (2016)
– Tome 3 : Pas de pot pour la jardinière – Qui s’y frotte s’y pique (2016)
– Tome 4 : Randonnée mortelle – Danger ! Terrain miné ! (2016)
– Tome 5 : Pour le meilleur et pour le pire – Parlez ou taisez-vous à jamais (2017)
– Tome 6 : Vacances tous risques – Bons baisers de Chypre (2017)
– Tome 7 : A la claire fontaine – Méfiez vous de l’eau qui dort (2017)
« Série Agatha Raisin enquête » tomes 8- 14 (résumé, mon avis et extraits de la série dans cet article)
– Tome 8 : Coiffeur pour dames – Une enquête à s’arracher les cheveux (2017)
– Tome 9 : Sale temps pour les sorcières – Mystère et boule de cristal (2018)
– Tome 10 : Panique au manoir – Quand le conte de fées vire au cauchemar (2018)
– Tome 11 : L’enfer de l’amour – Bague au doigt, corde au cou (2018)
– Tome 12 : Crime et déluge – Une enquête les pieds dans l’eau (2018)
– Tome 13 : Chantage au presbytère – Attention à ne pas ouvrir la boîte de Pandore (2018)
– Tome 14 : Gare aux fantômes: Qui vivra verra ! (2018)
– Nouvelle : – Le Noël D’Agatha – Gare au pudding (2018)
« Série Agatha Raisin enquête » tomes 15-22 (résumé, mon avis et extraits de la série)
– Tome 15 : Jamais deux sans trois : Méfiez vous des femmes parfaites
– Tome 16 : Bal fatal : Entrez dans la danse
– Tome 17 : Cache-cache à l’hôtel – Le soleil, la mer et la taule
– Tome 18 : Un Noël presque parfait – Qui sera le dindon de la farce
– Tome 19 : La kermesse fatale – Du LSD dans la confiture
– Tome 20 : Voici venir la mariée – Jusqu’à ce que la mort les sépare
– Tome 21 : Trouble fête – un Noël qui sent le sapin
– Tome 22 : Du lard ou du cochon : Cochon qui s’en dédit
« Série Agatha Raisin enquête » tomes 23-31 (résumé, avis et extraits de la série )
– Tome 23 : Serpent et Séduction : La jalousie est un poison
– Nouvelle gratuite : La Première Enquête d’Agatha
– Tome 24 : Gare aux empoisonneuses : Bien mal acquis ne profite jamais
– Tome 25 : Au théâtre ce soir : Attention aux trois coups
– Tome 26 : Secrets sur canapé : les murs ont des oreilles
– Tome 27 : Les pissenlits par la racine : Qui fait le malin… tombe dans le ravin
– Tome 28 : Chasse aux sorcières : le sort en est jeté (2021)
– Tome 29 : Sonnent les cloches ! : Gare au jugement dernier (2021)
– Tome 30 : Bonnet d’âne ! : Tel est pris qui croyait prendre (2022)
– Tome 31 : Au galop ! : Séduire ou détruire (2022)
Avis global sur la série : Un grand merci à Marie-France et à Albin – Michel qui m’ont permis de recevoir les tomes 5 et 6. Et comme j’aime commencer par le début, j’ai donc lu attaqué par le tome 1. Les épisodes de la série télévisée sont sympas mais loin d’égaler les livres ; déjà les personnages ne correspondent pas du tout à l’idée que je m’en fais en lisant les livres ! Plein d’humour et d’esprit, les tribulations d’Agatha dans les Costwolds vaut son pesant de cacahuètes ! Le moins qu’on puisse dire c’est que la paisible campagne anglaise avec ces jolis petits villages est loin d’être un havre de tranquillité…
– Tome 8 : Coiffeur pour dames – Une enquête à s’arracher les cheveux (2017) ( 288 pages)
Résumé : Pour toutes ses clientes, Mr John est un magicien : un coiffeur aux doigts d’or qu’elles adorent ! Mais, peu après avoir confirmé ses talents auprès d’Agatha Raisin qui voit poindre ses premiers cheveux blancs, Mr John meurt dans son salon, victime d’un empoisonnement, sous les yeux de la détective. Voici Agatha embringuée dans une drôle d’enquête. Qui en effet pouvait en vouloir à Mr John, adulé par ses nombreuses clientes qui lui confiaient leurs plus troubles secrets ?
Mon avis : C’est l’été. Du soleil, une boisson, une chaise longue, et … Agatha c’est juste ce qu’il faut pour passer une petite après-midi… Pas de James Lacey pour enquêter avec Agatha cette fois… Il est en voyage… Agatha va devoir se contenter de son Baronnet… Une fois encore elle va se fourrer dans les ennuis en suivant ses intuitions. Un petit moment rafraichissant dans le monde si féminin des coiffeurs… le salon de coiffure… l’endroit où les femmes se confient, s’épanchent, et parfois en disent peut-être un peu trop… Notre Agatha a des soupçons, mais quand on la caresse dans le sens du poil, quand on la rend jolie et qu’on la flatte… elle redevient naïve et encline à faire confiance… Entre shampoings et teintures, avec des petits restos par-ci par-là, Agatha va se retrouver mêlée à un meurtre. Elle va bien sûr décider d’enquêter de son coté, en marge de la police, à ses risques et périls…
Extraits :
Je vois, fit-il avec un petit claquement de langue, les dames qui se sous-estiment physiquement ont tendance à garder les cheveux courts. Montrez-moi une femme qui se coupe les cheveux à ras, et vous verrez un bel exemple de mauvaise image de soi.
Son humeur dépressive, qui s’était évaporée après son passage chez le coiffeur, l’enveloppa de nouveau comme un nuage noir.
L’immaturité est une composante indispensable de la psychologie masculine. Elle nous permet de rêver en grand et de donner vie à nos rêves.
– Tu ne fumes pas, que je sache.
– Non, sauf les cigarettes des autres. Je leur rends service en réduisant leur consommation.
Comme dit le proverbe, il vaut mieux un qui trouve que cent qui cherchent.
La campagne serait bientôt engloutie sous le béton. Avec ce genre de réflexions, raisonna-t-elle, elle menaçait de rejoindre les rangs de ces snobs méprisables qui répétaient sans cesse : « Je comprends bien que ces gens doivent vivre quelque part, mais je préférerais que ce soit loin de moi. »
– Je cherchais du réconfort, pas du sexe.
– À mon avis, le sexe a été un véritable réconfort.
– Tome 9 : Sale temps pour les sorcières – Mystère et boule de cristal (2018) ( 304 pages)
Résumé : Traumatisée après qu’une coiffeuse rancunière l’a shampouinée à la crème dépilatoire, Agatha Raisin se réfugie incognito dans un hôtel de la côte en attendant que sa chevelure repousse. N’ayant plus rien à perdre, elle consulte également une sorcière réputée pour ses talents. Miracle, la magie opère, mais pour peu de temps, car la sorcière est retrouvée assassinée … Agatha renoue aussitôt avec ses réflexes de détective, aidée par l’inspecteur Jimmy Jessop, ensorcelé par ses charmes.
A moins que ce ne soient les effets du philtre d’amour qu’Agatha a acheté à la pauvre sorcière ? Avec plus de 350 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l’héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?
Mon avis : Pauvre Agatha qui se voit contrainte de porter une perruque : elle perd ses cheveux par poignées. Direction l’antre de la sorcière de service et l’essai de philtres magiques dont le philtre d’amour, ce qui ne va pas arranger ses affaires. Entre l’inspecteur Jessop, l’inamovible baronnet de service et l’amour de son cœur, James Lacey… elle s’emmêle les pinceaux. Bien évidemment il y a des cadavres qui m’amoncèlent sur son passage, elle est bien entendu suspecte… Bref une Agatha égale à elle-même… Ah … au final elle va se retrouver avec un chat de plus. Sympa cette petite lecture estivale.
Extraits :
Les fumeurs ne provoquent pas d’accidents de la route, ils ne battent pas leur femme en rentrant chez eux. Les ivrognes, si. Et quand on pense aux émanations du nombre croissant de voitures polluant l’atmosphère… Le tabac était devenu une affaire politique. La gauche était antitabac, la droite, protabac, et entre les deux ceux qui avaient arrêté de fumer voulaient que tout le monde en bave.
– Et il y a un Mr Raisin ?
– Mort.
– Je suis désolé.
– Pas moi. »
C’était formidable d’être capable de se rappeler quelque chose, ne serait-ce qu’un fragment de poème. C’était l’une de ses angoisses : qu’un jour ses souvenirs lui échappent.
Le meurtre et le chaos peuvent toujours s’abattre sur Wyckhadden, que le Scrabble continue !
C’est fou comme les jeunes couverts de piercings, aux cheveux dressés sur la tête et aux vêtements absolument terrifiants peuvent se révéler charmants et ordinaires, pour la plupart, lorsqu’on apprend à les connaître.
Ce soir-là, l’espace d’un bref instant, elle devint l’enfant qu’elle n’avait jamais réellement pu être. Cette capacité à ressentir un bonheur pur était nouvelle pour elle. Jusque-là, le plaisir avait toujours eu un caractère doux-amer, une sensation de ça-ne-durera-pas. Mais ce soir, ce sentiment éclatant d’échapper à la réalité, cette chaleur, cette impression de sécurité semblaient pouvoir durer toujours.
Mais la presse chasse en meute, c’est d’ailleurs pour cette raison que beaucoup de journalistes manquent de bonnes histoires, et on leur ficha la paix.
Il arrive un moment dans la vie où il faut mettre de côté ses rêves immatures de grand amour et choisir l’amitié.
– Un front froid en provenance de Sibérie.
– C’est toujours de la faute de la Sibérie, ronchonna Agatha. Qu’ils se les gardent leurs foutus fronts froids.
– La raison pour laquelle ils nous les envoient, c’est qu’ils savent que nous aimons nous plaindre du temps qu’il fait. C’est le sujet de conversation préféré des Britanniques, après tout.
– Ça et les meurtres. »
C’est fou ce que la mer peut être différente d’un jour à l’autre, s’émerveilla Agatha. Ce matin-là, elle était noire et s’ornait de grandes crinières blanches qui s’écrasaient contre la digue.
– Tome 10 : Panique au manoir – Quand le conte de fées vire au cauchemar (2018) (283 pages)
Résumé : Meurtrie d’avoir été abandonnée par James, l’amour de sa vie, Agatha Raisin s’en remet aux présages d’une diseuse de bonne aventure : elle trouvera l’amour, le vrai, dans le Norfolk. Qu’à cela ne tienne, Agatha quitte Carsely et s’installe dans un charmant cottage de Fryfam où elle attend le prince charmant en écrivant son premier roman policier : Panique au manoir. Un titre prédestiné car, après une série d’étranges phénomènes, le châtelain du village est assassiné et les soupçons se portent tout naturellement sur Agatha, dont le conte de fées vire au cauchemar…
Avec plus de 350 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l’héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?
Mon avis : Ah merveilleuse Agatha ! Toujours égale à elle-même Toujours à songer à James, toujours amie avec le baronnet de service… Cette fois elle a décidé de louer un cottage dans un trou paumé… et elle va vite déchanter… Elle va tenter de se faire des copines des gens du coin… elle va au pub, rencontre les parvenus du village… et bien sûr se retrouve une fois de plus confrontée à des meurtres. Mais cette fois, il n’y a pas ses copains de la police locale et les policiers du coin trouvent qu’elle se mêle un peu trop de ce qui ne la regarde pas… à moins qu’elle ne soit pas si innocente que ça …
Extraits :
Ce que ça devait être chouette d’être un chat, se dit-elle amèrement. Pas d’amours malheureuses, pas de responsabilités, pas de factures à payer, et rien d’autre à faire que se prélasser au soleil et attendre qu’on vous donne à manger.
« Vous laissez quelqu’un loger gratis dans votre tête.
– C’est du jargon de psy,
Le Norfolk était devenu une partie de l’East Anglia après l’invasion des Anglo-Saxons au Ve siècle. « North Folk », autrement dit le pays des gens du Nord.
Même nu, il paraissait toujours tiré à quatre épingles : on aurait dit qu’il portait un impeccable costume blanc.
Il y avait quelque chose d’humiliant dans ces coups d’un soir, peut-être parce qu’elle n’appartenait pas à la bonne génération. Elle avait lu quelque part que les jeunes femmes n’éprouvaient ni remords ni culpabilité.
Mais les gens n’étaient jamais aussi simples que ça. C’était une mauvaise habitude de les réduire à des stéréotypes. Cela vous empêchait de regarder au-delà des apparences.
Si seulement il avait en face de lui l’irascible Agatha Raisin. Elle pouvait être exaspérante, ça oui, mais ennuyeuse, jamais.
– Tome 11 : L’enfer de l’amour – Bague au doigt, corde au cou (2018) – 360 pages
Résumé : Qui a dit que l’amour c’était le paradis ? Plutôt l’enfer, même pavé de bonnes intentions ! A peine mariés, Agatha et James Lacey font cottage à part et s’accusent mutuellement d’infidélités. Jusqu’à ce que James disparaisse pour de bon, laissant derrière lui sa maison saccagée… Les soupçons se portent aussitôt sur l’épouse du disparu : Agatha. Décidée à se défendre et à remettre la main sur son mari, notre détective part à sa recherche, à ses risques et périls…
Mon avis : Je crois que c’est la meilleure enquête d’Agatha. Nous vlà bien ! Agatha et son voisin sont mariés. Lune de miel et tout et tout… Bien évidemment au bout d’une page ils se retrouvent chacun chez eux (ils font cottage à part) et le nouveau mari disparait… Et par chance il ne reparait pas dans les pages qui suivent… Agatha va donc tenter de le retrouver et elle est quand même nettement mieux quand il n’est pas dans les parages ; cela permet de retrouver une Agatha qui reprend du poil de la bête. Bien sûr il y a les personnages récurrents du village et l’incontournable Charles. Et la fin de l’histoire d’amour avec son James (enfin avec elle, il risque bien de réapparaitre tant qu’il n’est pas mort). Agatha remplit une fois de plus son rôle : un moment de détente sans prétention quand je referme un livre coup de poing…
Extraits :
Pour parler normalement, je cherche un moyen de regonfler mon ego, que tu t’appliques soigneusement à piétiner. Tu m’asticotes constamment pour des riens. Fais pas ci, fais pas ça. Je t’emmerde, mon vieux.
Mon mari a disparu, il est peut-être mort, et toi tu ne trouves rien de mieux à faire que m’insulter !
– Les amis sont là pour ça, tu sais.
Moi aussi, songea Agatha, j’aimerais bien préparer des confitures maison. Bien sûr, je peux toujours en acheter de la bonne, décoller les étiquettes et les remplacer par les miennes. Qui verra la différence ?
Loin de moi l’intention de médire des morts, se défendit Mrs Bloxby, même si c’est un peu absurde, dans le fond. C’est sans doute bien pire de critiquer les gens tant qu’ils sont vivants. L’influence d’une vieille superstition, je suppose, on doit avoir peur de compromettre leur entrée au paradis.
De nos jours, on n’est pas vieille à trente-huit ans. Sinon, Aggie, tu ferais figure d’antiquité.
Il se manifeste quand ça lui chante, je ne peux pas tellement compter sur lui. Il me fait penser à mes chats, finalement. J’ai l’impression qu’ils m’aiment bien, tout spécialement quand je leur donne à manger.
Par moments, je me trouve un peu cynique. On devient comme ça quand on fait le ménage chez les autres.
Comme on dit toujours : « Pas de nouvelles, bonnes nouvelles. » Les vivants arrivent à se cacher, mais on retrouve toujours les morts.
– Et c’est qui, cette Tara ?
– Une superbe jeune femme.
– C’est ridicule, de s’appeler comme la plantation d’Autant en emporte le vent !
Où était passé le temps béni où elle pouvait s’activer toute une journée sur des talons aiguilles sans ressentir la moindre gêne ? Elle voyait déjà l’automne de sa vie se profiler devant elle.
Même si par miracle je le retrouvais, et qu’il acceptait de revenir vers moi, ça ne marcherait jamais entre nous. Chacun a attendu que l’autre change, mais ce n’est pas possible.
– J’arrête dès demain, c’est promis.
– La réponse classique des accros au tabac. Si vous étiez motivée pour de bon, vous cesseriez tout de suite.
– Tome 12 : Crime et déluge – Une enquête les pieds dans l’eau (2018) – 324 pages
Résumé : Le bonheur conjugal est de courte durée pour Agatha, une fois de plus délaissée par son mari. Punition divine, un véritable déluge s’abat sur la région, plongeant le petit village de Carsley sous les eaux. C’est le moral dans les chaussettes et sous une pluie torrentielle qu’Agatha aperçoit le corps sans vie d’une jeune femme en robe de mariée, un bouquet à la main, flottant dans la rivière. Pour noyer son chagrin, Agatha n’a qu’une solution : se jeter à corps perdu dans une nouvelle enquête…
Mon avis :
Extraits :
– Tome 13 : Chantage au presbytère – Attention à ne pas ouvrir la boîte de Pandore (2018) – 304 pages
Résumé : Larguée (une fois de plus) par James Lacey, délaissée par son voisin en qui elle mettait ses derniers espoirs, Agatha Raisin déclare la guerre aux hommes en faisant voeu de chasteté… Jusqu’à sa rencontre avec le tout nouveau et très sexy vicaire de Carsely, qui fait l’effet d’une bombe au village : les femmes se bousculent à l’église. Quant à notre Agatha, elle retrouve aussitôt la foi… Mais, damned !, voilà que le corps sans vie du vicaire est découvert dans le bureau de l’église. Qui a pu commettre ce geste sacrilège ? Le clergyman était-il trop beau pour être honnête ? C’est ce que découvrira peut-être Agatha qui, sans le savoir, vient d’ouvrir une véritable boîte de Pandore…
Mon avis :
Extraits :
– Tome 14 : Gare aux fantômes: Qui vivra verra ! (2018) – 335 pages
Résumé : Croyez-vous aux fantômes ? Mrs. Whiterspoon, une vieille mégère peu aimée des habitants de Carsely, se plaint de visites spectrales. Chuchotements, bruits de pas, brouillard suspect… sa maison serait hantée ! Les blagues vont bon train au village : mensonges ou hallucinations ?Lorsque la vieille dame est assassinée, plus personne ne rit : s’agit-il d’une farce qui a mal tourné ou d’un règlement de compte ? Mrs. Whiterspoon avait-elle de féroces ennemis ? Quels dangereux secrets abrite sa demeure ?Agatha Raisin n’a plus l’âge de jouer aux fantômes mais bel et bien celui de traquer des meurtriers. Avec l’aide de son voisin, le charmant Paul Chatterton, elle compte démasquer des « revenants » qui ont déjà fait beaucoup trop de mal.
Mon avis :
Extraits :
Nouvelle : – Le Noël D’Agatha – Gare au pudding (2018) – 82 pages –
Résumé : Le pudding était presque parfait… Lorsqu’Ag@atha Raisin décide d’organiser le Noël des personnes âgées dans un petit village des Co@tswolds, elle ne s’attend pas à ce que la fête tourne au drame. Ni une ni deux, la voilà pourtant avec un cadavre sur les bras, accusée de meurtre ! L’arme du crime ? Le dessert le plus british qui soit : un pudding ! Il faudrait un miracle ou l’intervention du père Noël pour la sortir de ce bourbier. Mais Ag@atha compte bien pister le vrai coupable…
En tête des meilleures ventes, M.C. Beaton est devenue la reine du mystère à l’anglaise et Agatha Raisin la plus célèbre détective après Miss Marple : une nouvelle délicieuse, à savourer sans modération.
Mon avis :
Extraits :