George, Elizabeth « les enquêtes de Lynley » (Page sur la série)

George, Elizabeth « les enquêtes de Lynley » (Page sur la série)

Voici une série de livres écrits par Elizabeth George et qui mettent en scène un duo cocasse, celui de l’inspecteur Thomas Lynley, huitième comte d’Ashterton et membre éminent du Département des enquêtes criminelles de Scotland Yard, et sa fidèle adjointe le sergent Barbara Havers. Le lecteur découvre un tandem de policiers : l’inspecteur Thomas Lynley, huitième comte d’Asherton, ancien élève d’Eton séduisant, riche et élégant, et le sergent Barbara Havers, 30 ans, assez laide, mal habillée, peu de chance dans sa vie privée, entre une mère qui perd doucement la tête et un père malade, qui n’ont plus le goût de vivre depuis la mort de leur fils. Barbara jongle entre culpabilité envers ses parents et conscience professionnelle. Elle éprouve une profonde aversion façon «lutte des classes» envers cet aristocrate avec lequel on lui ordonne de faire équipe (Wikipédia)

(01) Une douce vengeance 1993
(02) Enquête dans le brouillard 1990
(03) Le lieu du crime 1992
(04) Cérémonies barbares 1993
(05) Pour solde de tout compte 1994
(06) Mal d’enfant 1994
(07) Un goût de cendres 1995
(08) Le visage de l’ennemi 1996
(09) Le meurtre de la falaise 1997
(10) Une patience d’ange 1999
– Un petit reconstituant, nouvelles, 2000
(11) Mémoire infidèle 2001
(12) Un nid de mensonges 2003
(13) Sans l’ombre d’un témoin 2005
(14) Anatomie d’un crime, 2007
(15) Le rouge du péché, 2008
(16) Le cortège de la mort, 2010
(17) La Ronde des mensonges, 2012
(18) Juste une mauvaise action 2014
(19) Une avalanche de conséquences 2016
(20) La punition qu’elle mérite – 2019
(21) Une chose à cacher – 2022
(J’ai lu tous les romans de la série mais avant la création du blog, raison pour laquelle certains tomes n’ont pas d’avis – mais j’ai aimé ; la preuve j’ai continué

Il existe une série télévisée « Meurtres à l’anglaise » mais elle a effacé les personnages secondaires et je trouve que la Barbara de la série ne correspond en rien à l’idée que je me fais du personnage.

En voici les résumés :

Une douce vengeance (1ère enquête)
Un week-end de fiançailles se prépare en Cornouailles, Thomas Lynley, huitième compte d’Asherton et inspecteur à Scotland Yard, avec la photographe Deborah Cotter dans la propriété familiale de l’aristocrate. Mais la présence d’un futur beau-père hostile, d’un ami et rival et d’un frère drogué empoisonne la fête. Et la garden-party tourne au cauchemard lorsqu’on découvre, consciencieusement mutilé et châtré, le cadavre d’un journaliste local. Pour Lynley, la comédie mondaine risque de s’achever en noire tragédie. Surtout si les fantômes du passé s’en mêlent…
Mon avis: Voili voila. J’ai eu l’impression qu’il était un peu longuet au début, mais maintenant c’est bon .. Les personnages sont en place et c’est vrai qu’il est bon de les lire dans l’ordre

Enquête dans le brouillard (2ème enquête)
Le sergent Barbara Havers est résolument laide et revêche et bien décidée à le rester. Elle adore son boulot mais à l’idée de faire équipe avec l’inspecteur Lynley, un ancien d’Eton pur produit de l’aristocratie britannique, lui est insupportable. Un type pourri de charme avec qui aucune femme n’est à l’abri. Sauf la pauvre barbara évidemment… Mais les querelles de ce couple inattendu cessent vite devant l’atrocité d’un crime qu’ils sont chargés d’élucider. Dans un paisible village du Yorkshire, on a trouvé le corps sans tête de William Teys, paroissien modèle. A côté du cadavre, une hache et près de la hache, une grosse fille qui gémit : »C’est moi qui ai fait ça et je ne le regrette pas. » L’épouvante ne fait que commencer.

Le lieu du crime (3ème enquête)
Un manoir perdu sur la lande écossaise. C’est là que les membres d’une troupe de théâtre londonienne ont choisi de répéter une nouvelle pièce. Mais dès la première nuit, l’auteur, la jeune, belle et talentueuse Joy Sinclair, est sauvagement assassinée dans son lit. Aussitôt alerté, Scotland Yard dépêche sur les lieux, l’inspecteur Lynley et le sergent Havers. L’affaire est délicate : au nombre des suspects figurent un lord, deux des stars les plus populaires de Grande-Bretagne et … la femme dont Lynley est passionnément épris, Lady Helen.
Mon avis: Dense du debut à la fin. Maintenant qu’on connait les personnages, l’enquete prime sur la mise en place et c’est super. Bonne découverte!

Cérémonies barbares (4ème enquête)
Le collège de Bredgar, à une heure de Londres, représente le comble du chic et de la bonne éducation. Comment cet établissement discret pour privilégiés est-il devenu un lieu de supplice pour le jeune Matthiew Watheley ? Par quel enchaînement de chantage et d’humiliations, de cruauté et de violences sexuelles a-t-il fini par être assassiné ? Pourquoi son corps a-t-il été trouvé aussi loin de l’école ? Havers et Lynley rassemblent les indices et découvrent que d’inquiétantes et barbares cérémonies se déroulent derrière les murs centenaires de Bredgar. Une enquête éprouvante où le couple de policiers le plus attachant du Yard risque de perdre son flegme et son sens de l’humour.
Mon avis : Alors haletant jusqu’au bout ! De mieux en mieux… J’avais eu des doutes à un moment , puis j’avais dit « Non pas lui »…et finalement.. ben si !

Pour solde de tout compte (5ème enquête)
La surdité d’Elena Weaver ne l’empêchait nullement de mener à Cambridge de brillantes études en même temps qu’une vie sexuelle parfois dangereuse. Et c’est sur une île mal famée en bordure de la ville que l’on découvre son cadavre mutilé. Une mort atroce pour la belle étudiante, fille d’un professeur respecté du collège St Stephen. Les maladresses de la police locale incitent Scotland Yard à dépêcher sur place deux de ses meilleurs enquêteurs. Une nouvelle occasion pour le sergent Barbara Havers, toujours aussi caustique et mal fagotée, de retrouver son vieil ennemi intime, le comte Lynley, sa Bentley et ses bonnes manières d’ancien d’Eton. Mais s’ils s’entendent comme chien et chat, ces deux-là forment aussi l’équipe la plus intelligente et la plus tenace de Grande-Bretagne. De la subtilité et du courage, il leur en faudra pour identifier le plus stupéfiant, le plus invraisemblable des coupables.
Mon avis :

Mal d’enfant (6ème enquête)
Novembre à Londres. Pluie battante. Deborah Saint-James, qui fait des fausses couches à répétition est déprimée… A la National Gallery, la vision d’une radieuse Vièrge à l’enfant de Vinci lui sape définitivement le moral. Un pasteur qu’elle rencontre au musée l’invite à lui rendre visite dans le Lancashire. Deborah et son mari partent donc pour le Nord, histoire de se changer les idées. Mais arrivés à destination, ils apprennent que Robin Sage, leur hôte, vient de mourir des suites d’un empoisonnement accidentel. Expert en sciences médicales, Simon Saint-James est sceptique : l’ingestion accidentelle du poison causant le décès est presque impossible. Aidé de son vieil ami et complice Lynley, il décide de mettre la main à la pâte et de reprendre l’enquête qui a été manifestement sabotée par la police locale.
Mon avis : Bien aimé aussi. Mais un peu déçue de ne pas avoir les 2 complices enquêtant main dans la main…

Un goût de cendres (7ème enquête)
Si l’incendie de l’élégant cottage de Springburn, dans le Kent, était presque parfait, le crime ne l’était pas moins. Un bouquet d’allumettes, une cigarette qui se consume lentement, et voilà un système de mise à feu à retardement à la portée du premier amateur venu. Mais l’examen des lieux et du corps carbonisé prouvait que Kenneth Flemming avait d’abord été assassiné. Le meurtre d’un champion de cricket dont le talent divise l’Angleterre concerne le Tout-Londres et donc Scotland Yard. Lynley et Havers mènent l’enquête, trop humains tous deux pour juger les actes atroces qu’ils découvrent.
Mon avis : Moins aimé, mais il en faut pour tous les gouts. Dans « un gout de cendres » il n’y a pas de Simon et Deborah.. Et ils me manquent.

Le visage de l’ennemi (8ème enquête)
Etre Margaret Tatcher ou rien. C’est toute l’ambition d’Eve Bowen, secrétaire d’Etat au gouvernement britannique. Jusque-là, pas la moindre erreur de parcours. Mère célibataire, elle a su émouvoir une partie de l’opinion et séduire l’autre par son conservatisme. L’enlèvement de sa fille ruine d’un coup sa vie de femme et ses plans de carrière. Eve doit renouer avec le père de l’enfant, un homme rayé de sa vie depuis longtemps. Ce Dennis Luxford devenu rédacteur en chef d’un journal à scandales, elle le hait au point de soupçonner sa participation au kidnapping. Havers et Lynley ne croient pas à cette thèse. En revanche le couple de flics le plus baroque et le plus intuitif a compris que cette affaire politico-mondaine en cachait une autre, sordide et sanglante.
Mon avis : J’ai fini « le visage de l’ennemi » et je l’ai beacoup aimé. J’ai eu le bonheur d’y retrouver tout mon petit monde… Simon, Deborah, Lady Helen, Linley et Havers.. le bonheur..

Le meurtre de la falaise (9ème enquête)
Le couple le plus célèbre du Yard n’est pas au meilleur de sa forme. L’inspecteur Lynley est en voyage de noces et Barbara Havers, nez et côtes cassés au cours de sa dernière enquête se repose dans une petite station balnéaire. Sa convalescence est de courte durée. La découverte du cadavre d’un jeune Pakistanais l’oblige à reprendre du service. Crime rasciste ? Affaire liée à l’homosexualité de la victime ? Dans sa recherche de la vérité, Havers va devoir plonger au coeur de cette communauté orientale si complexe et de si calme apparence. Avec son intuition, son fichu caractère et sa légendaire absence de diplomatie, Barbara parvient à mettre au jour d’innombrables trafics et à vérifier de nouveau que la noirceur de l’homme est sans limite.
Mon avis : J’aime beaucoup l’histoire, le contexte racial me plait.. mais seule la Mrs Havers est au rendez-vous ce coup ci ! Passionnant ce tête à tête avec Barbara.

Une patience d’ange (10ème enquête)
En promenant son chien dans la lande, une vielle dame découvre le cadavre d’un jeune homme poignardé. La police ne tarde pas à trouver non loin de là, le corps d’une jeune femme tuée d’un violent coup à la tête. Les victimes se connaissaient-elles ? Quel est le lien entre elles ? Lynley, ami du père de la jeune femme, est chargé de l’enquête. Avec l’aide du sergent Winston Nkata et de Barbara Havers, à qui il continue de battre froid depuis ses dernières incartades, il va devoir démêler les fils d’une histoire terriblement complexe. Il s’avère très vite que Nicola Maiden, la jeune fille assassinée, n’était pas la sage et brillante étudiante qu’on croyait. Et que l’autre victime cachait de bien troubles activités…
Mon avis :  C’est un tout bon ! et bien que j’ai vu le téléfilm… j’ai eu l’impression de lire une autre histoire ! Faut dire que la série a oublié les personnages de second rôle comme Simon, Deborah et cela manque énormément.

Mémoire infidèle (11ème enquête)  
Quand Eugénie Davies meurt écrasée dans une rue de Londres – le chauffard ayant pris soin d’achever sa victime en repassant sur le corps – l’inspecteur Lynley est chargé de l’enquête. Parmi les suspects du crime, JW Pitchley doué d’un penchant certain pour les femmes mûres; Katja Wolff jadis condamnée à 20 ans de prison pour l’assassinat de la fille de la victime et récemment libérée sous caution ou encore le major Ted Wiley libraire amoureux d’Eugénie. Tandis que ses fidèles subordonnés Nkata et Havers suivent ces pistes, Lynley s’intéresse au fils de la victime Gideon, enfant prodige devenu violoniste virtuose et soudain inexplicablement incapable de tirer la moindre note de son instrument. Les enquêteurs trouvent un lien entre les événements récents et des faits tragiques survenus dans le passé…
Mon avis : un des tout bons !

Un nid de mensonge (12ème enquête)
Guy Brouard, richissime notable de l’île de Guernesey, est retrouvé mort sur la plage, une pierre polie enfoncée dans la gorge ! Dernière personne aperçue aux côtés de la victime, China River, jeune américaine de passage, présente, pour la police locale, toutes les caractéristiques de la coupable idéale. Ce qui n’est pas de l’avis de son amie d’enfance, la sémillante Deborah qui, accompagnée de son époux, l’expert judiciaire Simon Saint James, va tout mettre en œuvre pour l’innocenter. Au risque de se brûler les ailes. Car le défunt sexagénaire n’avait absolument rien d’un bon Samaritain : séducteur compulsif et drôle d’entrepreneur, il venait juste de modifier son testament, lésant son propre clan, au profit d’un petit garçon et d’une séduisante adolescente…
Mon avis : mitigée.. Moi quand j’ai ni Linley ni Barbara….

Sans l’ombre d’un témoin (13ème enquête)
Londres, à l’entrée de l’hiver… Lynley, Havers, Nkata, Saint James et les autres sont sur le pied de guerre.
Pour traquer un adversaire particulièrement redoutable : un meurtrier en série dont les cibles sont de jeunes métis laissés-pour-compte. Est-ce pour cela que leur diparition est, dans un premier temps, passée inaperçue ? Toujours est-il que la police n’entame que tardivement les recherches.
Consciente de l’ampleur de la tâche, la hiérarchie de Scotland Yard convoque pour prêter main-forte à Lynley un psychologue formé au métier de profileur. Persuadé que celui-ci va lui mettre des bâtons dans les roues, Lynley se braque. Les conférences de presse du chef de la police se succèdent, auxquelles est instamment prié d’assister le sergent noir Winston Nkata. Histoire de montrer que, au Yard, on n’a pas de préjugés racistes. Les jeunes victimes appartenant à des milieux défavorisés, le lecteur pénètre dans le Londres strié de suie et de graffitis des zones sensibles. Aux antipodes des quartiers cossus où vivent Lynley et ses semblables…
Elizabeth George brosse de ce décor urbain un tableau d’une efficacité impressionnante. Pour atteindre son objectif, elle n’hésite pas à multiplier les points de vue, permettant ainsi au lecteur d’appréhender dans toute sa complexité la psychologie de ces grands malades – psychopathes et pédophiles – qui hantent les nuits d’un Occident en mal de repères.
Mon avis :

Anatomie d’un crime (14ème enquête)
Londres. A l’arrière d’un bus qui traverse la ville, le jeune Joel, sa sœur et son frère roulent vers leur destin. Dans un quartier chic, Helen Lynley rentre chez elle. Elle est belle, heureuse, la vie lui sourit. Tout est en place pour une rencontre. Inexorablement fatale. Car, même s’il l’ignore, Joel est une arme vivante. Le détonateur, c’est son histoire, le chaos qu’on lui a donné pour tout bagage. L’explosif ? C’est son quartier, écrasé par la misère et la violence qu’elle génère. Jusqu’au dernier moment, Joel pense qu’il pourra choisir. Mais d’autres ont peut-être déjà choisi pour lui… Le nouveau roman d’Elizabeth George est beaucoup plus qu’une enquête : le récit passionnant d’un engrenage implacable. Elle sait comme nul autre nous faire emboîter le pas de son personnage, nous placer avec lui à la croisée des chemins. Le quel va-t-il prendre ? Où sont les issues, et y en a-t-il jamais eu ? Un roman noir, plus que jamais ancré dans son époque et ses bouleversements. Une extraordinaire machine à remonter le crime. Et à le démonter.
Mon avis :  j’ai beaucoup aimé bien que ce ne soit pas du tout ce à quoi je m’attendais…

Le rouge du péché (15ème enquête) (voir article)
Inconsolable trois mois après le meurtre de son épouse, Thomas Lynley erre le long des côtes de Cornouailles, loin de l’absurdité du monde. Lorsqu’il découvre le cadavre d’un jeune grimpeur au pied des falaises, son retour à la réalité est brutal…
Chargée de l’enquête, l’inspecteur Bea Hannaford renonce vite à considérer comme suspect le vagabond aux vêtements crasseux qui présente des papiers au nom de Thomas Lynley. En manque d’effectifs, elle le met à contribution : il est certes un témoin, mais, une fois son identité vérifiée, elle ne doute pas que son expérience de commissaire au Yard pourra s’avérer très utile. Car il y a du travail : le matériel d’escalade de Santo Kerne, la victime, a été saboté, et les personnes ayant pu désirer la mort du jeune homme sont légion.
Dans ce pays sauvage de falaises et de mer démontée, Lynley participe à contrecoeur aux investigations mais reprend pied peu à peu. Il retrouve son éternelle partenaire, Barbara Havers, que Londres a dépêchée sur place autant pour collaborer à l’enquête que pour mener à bien une mission délicate : récupérer Lynley.

Le cortège de la mort (16ème enquête) (voir article)
Depuis le meurtre de son épouse, l’inspecteur Thomas Lynley n’a pu se résoudre à reprendre son poste à Scotland Yard. Lorsqu’une femme est retrouvée égorgée dans un cimetière londonien, sa remplaçante, Isabelle Ardery, y voit l’occasion rêvée de résoudre une affaire criminelle qui pourrait donner de l’élan à sa carrière. Mais, loin de faire l’unanimité au sein de son équipe, elle comprend qu’il lui sera difficile de parvenir à ses fins sans l’aide du très respecté Lynley, qu’elle appelle en renfort.
Dans cette seizième enquête de l’inspecteur Lynley qui signe ici son grand retour au Yard, Elizabeth George plonge au coeur de la violence humaine, que même une société aussi policée que la société britannique ne peut contenir.

La ronde des mensonges (2012) (17ème enquête) (voir article)
Un jeune homme est retrouvé noyé dans le hangar à bateaux d’un château du Lake District. S’agirait-il d’une mort accidentelle ? L’oncle de la victime, le richissime industriel Bernard Fairclough, demande que Lynley enquête dans la plus grande discrétion sur ce drame. Les suspects sont nombreux : l’héritier, ex-drogué repenti, ses sœurs, sa femme, ravissante Argentine dont il est passionnément épris, ainsi que la galerie de personnages hauts en couleur qui les entourent… et qui ont tous un secret à cacher.

Juste une mauvaise action (2014) (18ème enquête) (voir article
Le sergent Barbara Havers est catastrophé. Hadiyyah, la fille de son cher ami Azhar, a été enlevée par sa mère et aucune poursuite judiciaire n’est possible. Azhar n’a jamais épousé Angelina et l’enfant ne porte pas son nom.
Alors qu’Azahar se désespère, Angelina refait finalement surface avec une nouvelle alarmante : Hadiyyah a été kidnappée sur la place d’un marché toscan.
La police italienne est chargée de l’enquête et Barbara devra prendre les choses en main, frôlant l’incident diplomatique, pour que Scotland Yard intervienne en la personne du célèbre inspecteur Thomas Lynley.
Bien vite, les deux enquêteurs découvrent que l’affaire est beaucoup plus complexe qu’un simple enlèvement…
Du brouillard londonien aux collines ensoleillées de Toscane, Elizabeth George nous emporte, avec cette dix-huitième enquête de Thomas Lynley, dans un tourbillon d’émotions et de trahisons.

Une avalanche de conséquences (2016) (19ème enquête) (voir article
Et si le secret de famille était le plus indétectable des poisons ?
Qu’est-ce que Lily a bien pu découvrir dans le journal intime de son fiancé William Goldacre pour que celui-ci se précipite du haut d’une falaise du Dorset ? Et est-ce un hasard si, quelque temps plus tard, sa mère, Caroline Goldacre, se retrouve mêlée à une sombre affaire : la mort suspecte de Clare Abbott, l’auteur féministe dont elle était l’assistante
Si le lien entre les deux décès semble ténu, voire inexistant, le sergent Barbara Havers est néanmoins déterminée à faire éclater la vérité. Il n’en faudra pas moins pour restaurer auprès de sa hiérarchie son image salement écornée par une précédente enquête. Elle est soutenue par son supérieur, l’inspecteur Thomas Lynley, qui suit une piste à Cambridge, où le corps de Clare a été retrouvé. Barbara Havers, de son côté, cherche quel mystère se cache dans la campagne du Dorset, d’apparence si paisible…
D’une main de maître, Elizabeth George tire les ficelles d’une énigme troublante où la tragédie côtoie le crime. Lorsque resurgissent des secrets de famille depuis longtemps enfouis se déclenche inévitablement une avalanche de conséquences…

La punition qu’elle mérite (2019)  (20ème enquête) (voir article
« Ludlow, bucolique bourgade du Shropshire, tombe dans l’effroi lorsque le très apprécié diacre Ian Druitt est accusé de pédophilie. Placé en garde à vue, le suspect est retrouvé mort, pendu.
La commissaire Isabelle Ardery, qui a été dépêchée sur les lieux depuis Londres et qui se débat avec ses problèmes d’alcool, a bien envie de classer l’affaire en suicide. Mais c’est sans compter la sagacité du sergent Barbara Havers. Coachée à distance par l’inspecteur Thomas Lynley, la Londonienne gaffeuse et accro à la nicotine flaire le pot aux roses : et s’il ne s’agissait pas d’un suicide ?
N’en déplaise à Isabelle Ardery, Lynley et Havers vont reformer leur duo de choc pour observer de plus près la vie de cette petite ville qui semblait si paisible. Car, derrière leurs allures de gentils retraités ou d’étudiants fêtards, les habitants de Ludlow ont tous quelque chose à cacher…
La plus british des romancières américaines revient en force avec ce vingtième opus des enquêtes de Thomas Lynley, encore plus complexe, addictif et incisif que les précédents. Un bijou de suspense à placer entre les mains des fidèles comme des néophytes ! »

Une chose à cacher (2022)  (21ème enquête ) (voir article
Teo Bontempi, membre d’une brigade luttant contre les violences faites aux femmes, succombe à l’hôpital après avoir été retrouvée inconsciente dans son appartement londonien. Thomas Lynley et ses adjoints, Barbara Havers et Winston Nkata, découvrent bientôt lors de leur enquête que la policière, d’origine nigériane, avait été excisée dans son enfance. Teo s’intéressait d’ailleurs à une clinique qu’elle soupçonnait de mutilations génitales médicalisées, une pratique qui suscitait l’hostilité des exciseuses locales. 
Mais peut-être faut-il plutôt chercher les raisons de la mort de Teo dans sa vie privée ? Tandis que la canicule échauffe les esprits, Lynley, Havers et Nkata devront s’aventurer sur un terrain miné par les tensions interraciales, et surmonter leurs propres préjugés pour découvrir la vérité.
En témoin privilégiée de son temps, la plus british des romancières américaines revient en force avec cette  » affaire de femmes  » qui brise le silence sur un sujet aussi tabou que complexe.

 

Remarque: Comme vous pouvez le voir dans les résumés, d’autres personnages récurrents partagent les aventures de nos deux héros dont Saint-James et sa femme Deborah qui, dans certains romans, leur volent même la vedette…

Photo : Meurtres à l’anglaise (The Inspector Lynley Mysteries) –
Mon avis : la série télévisée va à l’essentiel et on perd beaucoup. Les personnages secondaires sont pour ainsi dire inexistants et c’est très dommage car cela fait le charme de cette série de romans)

5 Replies to “George, Elizabeth « les enquêtes de Lynley » (Page sur la série)”

  1. Voilà bien une série que je suis depuis le début… complètement accro, la N@n, tant pour Lynley que pour Havers !
    Attention Soeurette, il y a une petite petouille dans ton étiquette: il manque un r dans Meutres 😉

  2. je cherche à acheter la série linley mais elle n’existe pas en français ??or sur c8 elle est en français ;qq’un peut m’expliquer ?,,
    merci

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *